Le Mariage Forcé de Molière et Lully
Le Concert Spirituel
27/03/2022 | 14h30
Reims
Opéra de Reims
BilletterieOpéra de Reims
1 Rue de Vesle
Reims
Marne
400e anniversaire Moliere
Création scénique, actions culturelles associées
Pour en savoir plusRegarder et écouter
Programme
Molière et Lully
Le Mariage forcé
Comédie-ballet en trois actes
Distribution :
Vincent Tavernier, Mise en scène et direction artistique
Les Malins Plaisirs
Hervé Niquet, direction musicale
Nicolas André, chef associé
Le Concert Spirituel
Marie-Geneviève Massé, chorégraphie
Cie de danse L’Eventail
Claire Niquet, décor
Erick Plaza-Cochet, costumes
Carlos Perez, lumières
Avec
Lucie Edel
Yannis François / Nicolas Brooymans
Comédiens des Malins Plaisirs
Pierre-Guy Cluzeau, Marie Loisel, Laurent Prévôt, Quentin-maya Boyé, Maxime Costa
Danseurs de la Cie de danse l'Eventail
Annne-Sophie Ott, Clémence Lemarchand, Artur Zakirov, Romain Di Fazio, Pierre Guibault
Orchestre du Concert Spirituel
Le Concert Spirituel, la Compagnie de danse l’Eventail et Les Malins Plaisirs collaborent depuis de nombreuses années afin de restituer les comédies-ballets de Molière dans leur intégralité, telles quelles étaient données à la cour, sans ajout ni omission. Chacun spécialiste de son domaine, respectivement la musique, la danse et le théâtre, leur association a déjà permis de faire découvrir L’amour médecin et Les Amants magnifiques. Pour célébrer les 400 ans de la naissance de Molière, les trois ensembles réitèrent leur collaboration autour de trois nouvelles œuvres à la renommée et structures variées.
Molière 2022 - Acte II : Le Mariage forcé
Le Mariage forcé est la deuxième comédie-ballet composée par Molière et sa première véritable collaboration avec Lully. La composition en « sketches » successifs est encore typique du ballet de cour dont la comédie-ballet dérive, et de ce point de vue assez proche des Fâcheux (1661).
Réglant un mouvement général subtil où alternent accélérations et repos, Molière et Lully composent une œuvre où leur fantaisie mutuelle peut se donner libre cours. Ce mouvement est celui qui doit animer les interprètes, mais aussi le dispositif scénique à transformation – évoquant une « ville de théâtre », aussi mobile que les « sketches », aussi colorée que les personnages et leurs costumes, aussi fantasque que le scénario.