The Highland Watch
Les Ambassadeurs – La Grande Ecurie
Direction musicale : Alexis Kossenko
07/09/2024 | 20h30
Poitiers
Salle de conférence du Crédit Agricole
BilletterieSalle de conférence du Crédit Agricole
18 Rue Salvador Allende
Poitiers
Vienne
Nouvelle-Aquitaine
France
Pour en savoir plus
Programme
Beethoven : The Highland Watch (ténor et chœur)
Haydn : Greensleeves (baryton)
Beethoven : Highlander’s lament (soprano et chœur)
Haydn : Tweed side (ténor, baryton)
Weber : John Anderson my Jo (soprano)
Beethoven : Auld lang syne (soprano, ténor, baryton)
Beethoven : Bonny laddie, Highland laddie (variations pour piano et flûte)
Beethoven : Sir Johny Cope (baryton et chœur)
Beethoven : Highland Harry (soprano)
Kuhlau : Variations sur un thème écossais opus 104 (flûte et piano)
Beethoven : The return to Ulster (ténor)
Beethoven : Come fill (ténor et choeur)
Weber : O poortith cauld (ténor)
Beethoven : The last rose of summer (variations pour piano et flûte)
Beethoven : Bonny laddie, Highland laddie (soprano)
Weber : A soldier am I (baryton)
Beethoven : The sweetest lad was Jamie (soprano)
Beethoven : The Highland Watch (variations pour piano et flûte)
Beethoven : O Charlie is my darling (soprano, ténor, baryton)
Beethoven : The lovely lass of Inverness (baryton)
Haydn : Muirland Willie (soprano, ténor, baryton)
Distribution :
Fiona McGown, mezzo-soprano
Nicholas Scott, ténor
Stephan MacLeod, basse
Bertille Mas, violoncelle
Daniel Isoir, pianoforte
Alexis Kossenko, flûte traversière & direction
Les Ambassadeurs ~ La Grande Écurie
Dans les années 1770, Scottish tunes & songs fut une véritable institution qui dépassa de loin le simple cadre de la musique traditionnelle. Les gentlemen anglais raffolaient de ces mélodies au parfum enivrant, qui alternent la mélancolie la plus poétique et l’euphorie débridée…
Plusieurs compositeurs tombèrent sous le charme de ce répertoire, comme Haydn et ses 250 airs écossais. Empêché de finir, il recommandera un certain Beethoven pour poursuivre l'entreprise. Quant à Weber, si sa contribution est plus modeste, elle n'en reste pas moins admirable, en entrainant les scots tunes dans de véritables élans romantiques.